S'il y en a deux qui pour moi
Ont beaucoup compté
Qui chaque fois étaient là

Pour me réconforter

Quand au foot je perdais
Qu'un amour me quittait
Toujours ils défendaient
Leur petit-fils adoré

Je hais les médecins sans sagesse
Et ses médicaments
Qui répare leur vieillesse
Et leur pique leur argent

Je voudrais les aider
Quand je les vois épuisés
Qui attendent assis
La fin de leur vie

Quand grand-père pour toujours
Dans le ciel s'en ira
Que sa femme son amour
L'y accompagnera

Je voudrais qu'avant de me coucher
Une toute dernière fois
Tous les deux viennent me border
Me serrer dans leurs bras

Souvent je pense à eux
Je me dis que sans eux
Je ne serais pas là
Je n'existerais pas
Je ne me vois pas sans eux
Je me demande parfois
Qui les remplacera

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